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Préface de David Chanteranne.
Issu d'une famille d'ancienne noblesse d'Angoumois, Pierre Garnier de La Boissière mit ses origines de côté sous la Révolution et l'Empire, et, sans tapage, accumula les grades militaires, les charges prestigieuses et les honneurs.
Armée du Rhin, armée d'Italie, armée des Grisons... « Les glaces, neiges et précipices offraient de grands dangers. Le général de cavalerie La Boissière donna l'exemple du courage », dira Napoléon à Sainte-Hélène.
Entre les charges sabre au clair et l'étiquette des palais impériaux, son refuge était son village de Saint-Claud, au nord du département de la Charente juste créé où l'Empereur, sûr de sa fidélité, l'avait nommé président du collège électoral.
Sénateur à vie, chambellan de Sa Majesté l'Empereur et Roi, comte de l'Empire et inspecteur général des troupes à cheval, il veillait discrètement sur ses proches, sur ses compatriotes Charentais. À sa mort, en 1809, son fils aîné, treize ans, fut admis comme page de la maison impériale.
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