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Charles Journet est connu pour son oeuvre majeure, L'Église du Verbe incarné. Mais on ignore souvent qu'à côté de la figure du théologien thomiste existait aussi celle du poète, de l'homme de Dieu qui connaissait par expérience cette brûlure de l'âme que provoque la beauté. C'est ce que révèle la correspondance échangée avec Paul Claudel de 1934 à 1950.
À travers l'évocation des hommes et des événements qui formèrent le cadre de leur échange, le théologien écoute le poète, fait partager sa joie de le lire, ou corrige un mot, une expression que la poésie ne nécessite pas, mais que la vérité exige. À la suite de cette correspondance, Michel Cagin a rassemblé tous les écrits de Journet sur l'auteur du Soulier de satin, et les textes de Claudel publiés dans la revue Nova et Vetera : part du dialogue, la plus intériorisée, entre le théologien et le poète. L'ensemble montre un souci commun de ce que Claudel lui-même appellera la « substance de la beauté qui est le sens ».
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