L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Un glissement propice à l'aube Me pousse au recommencement. J'ai le droit comme tous les autres De profiter aussi de mon temps. Du vin ! J'ai soif et puis je meurs ! Et je m'emporte au fil des verres. J'ai la soif propre à la colère Qu'on cuve en ruminant sa peur. Ca s'appelle communément Le courage de se laisser vivre. Du fond de mon puits, je dessine Des motifs pas très rassurants. Si le monde prenait le temps De s'occuper malgré son sort, Ça ferait des joies, et encore J'oublie les feux des revenants. Si le monde prenait le temps D'écouter la pluie lorsqu'en flaques Elle effluve l'odeur d'un cloaque Qu'on assainit sans mauvais sang.
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