"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En 1847, Flaubert a le moral à zéro. Il ne se remet pas de la perte de son père et de sa jeune soeur Caroline, morte à vingt-deux ans. Maxime du Camp, à qui le lie un fidèle compagnonnage, lui propose alors, pour changer d'air et d'idées, une escapade sur les routes de Bretagne. Les deux amis prennent le départ « le 1er mai 1847 à huit heures et demie du matin ». Direction : Blois, Nantes. De là, ils longent la côte méridionale de la Bretagne (Quiberon, Quimper) et poursuivent vers la côte nord (Saint-Malo et le pèlerinage au Grand-Bé, tombeau de Chateaubriand, puis le Mont-Saint-Michel). Le retour se fera par Vitrée, Fougères, Honfleur, Trouville et Rouen. De cette balade de trois mois, ils ramènent un livre à deux voix, Gustave se chargeant des chapitres impairs et Maxime des autres. Cette oeuvre de « pure fantaisie et digressions » reste le plus beau des guides pour découvrir les régions racées de l'Anjou, de la Touraine et de la Bretagne.
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