"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Je l'aime, il m'aime, nous nous aimons...
Ils se marièrent et eurent quelques enfants et... le temps, ayant passé, hélas... ! Serait-ce là le piège fatal tendu à l'Amour ? L'habitude, le quotidien altéreraient-ils, rongeraient-ils les sentiments les plus profonds, les plus grands plaisirs ? Ou serait-ce les enfants qui transforment les amants en parents ? Ou encore, les amants eux-mêmes, éternels insatisfaits, qui s'échinent à la poursuite de ce qui devrait être et n'est pas, de ce qui fut et n'est plus ? Oui Emile pour la vie conjugue à tous les temps les questions que l'on se pose à la fin des plus beaux contes.
La finesse stylistique d'Amélie Plume, rappelant le mordant des dessins de Claire Bretécher, croque L'amour conjugal à dents vives. Capricieux et léger, dansant et primesautier, son coup de pinceau esquisse tendrement les tableaux de La marche nuptiale. Et c'est d'un point de vue bien inédit que nous prenons part à la cérémonie : l'écriture d'Amélie Plume, tel un spectacle de clown, nous restitue la réalité avec toutes ses contradictions.
Alain Froidevaux.
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