L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Ils sont rares, les hommes qui ainsi élèvent, sans violence, par la seule exigence de noblesse qu'ils incarnent, imposent et transmettent, ceux qui s'approchent d'eux.
Nathan Katz, nous le nommons père parce qu'il nous élève ainsi. Sa bonté est telle qu'elle appelle nécessairement l'amour. Sa poésie est expression de la joie - Lebensfreude - ou expression de la pitié, et rien de plus. Ce qu'a toujours été la poésie authentique, essentielle, depuis les premiers Grecs. Louange de tout ce qui est bien, amour de tout ce qui concourt à la vie. Et incompréhension profonde de tout ce qui est mal, étonnement douloureux devant les forces de mort.
Ce qu'il nous enseigne, n'est-ce pas la difficile, l'absurde, l'insoutenable foi socratique : nul ne peut être méchant volontairement, nul ne peut être heureux dans le mal. Voilà ce que dit la vieille philosophie, ce que dit la poésie. Voilà l'amour, et l'amour de l'amour. Et, du même coup, voilà notre peu d'amour, notre impuissance infinie à aimer... Nathan Katz n'est pas seulement sa poésie. Il est ce que nous savons de mieux de la poésie.
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