L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Si l'on se représente une carte de l'Europe ancienne montrant les populations qui s'y sont installées dans les quelques siècles qui ont précédé l'extension de l'Empire romain, on s'apercevra qu'une majorité de l'Europe continentale et insulaire a parlé celtique. En effet, on y trouve des toponymes celtiques - c'est-à-dire des endroits où les Celtes se sont installés et ont parlé leur langue - de la Grande Bretagne à la Dacie et de la Germanie rhénane jusqu'au sud de l'Espagne en passant naturellement par les trois Gaules : la Narbonnaise, la Norique, la Panonnie et la Cisalpine.
Le corpus des noms de lieux celtiques est un ensemble encore plus foisonnant et hétéroclite que le corpus des noms de personnes qui est un domaine bien délimité, circonscrit pour l'essentiel à l'épigraphie et aux textes classique. Cela pour une raison simple : les noms de personnes gaulois ont disparu avec la romanisation progressive et l'adoption du système de nomination latin puis la christianisation, alors que les noms de lieux de l'Europe celtique se sont prolongés jusqu'à nos jours. Paris, Lyon, Milano, London, Bonn, Wien (Vienne), par exemple, nous sont parvenus par une tradition ininterrompue sur plus de deux millénaires.
Ce livre très complet fait le point sur la question et réserve quelques surprises.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique