A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
Dès 1873 la maladie s'est installée à l'état chronique dans la vie et l'oeuvre de Nietzsche. Quelque soit la nature exacte de ces maux, son extrême sentibilité réagit avec une force et une profondeur inouïes aux différents combats qui traversèrent sa vie.
Nietzsche a plus d'une fois souligné la rareté dans une vie de l'accord entre expérience et expression : la plupart des intellectuels écrivent, alors qu'ils n'ont rien à dire, mais pour celui qui a quelque chose à dire, parce qu'il à vraiment vécu, l'heure sonne qu'elle s'est déjà enfuie, et dans une large mesure il parle de ce qui n'est plus. Mais ce recul présuppose une projection en avant dont Nietzsche redoute souvent d'être incapable. L'épreuve lui apparaît alors effroyable, et il appelle la mort.
Pour deviner quelque chose de la façon dont Nietzsche est sorti du gouffre, il faut se référer aux oeuvres où il théorise sa conception des rapports entre la santé et la maladie. Le dépit, la susceptibilité, l'impuissance, le ressentiment sont autant de toxines de la maladie. Nietzsche écrit pourtant qu'il doit à sa longue maladie la liberté à l'égard du ressentiment. Un philosophe qui a traversé et ne cesse de traverser plusieurs états de santé a passé par autant de philosophies. Il ne saurait faire autrement que transformer chacun de ses états en la forme et en l'horizon les plus spirituels.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste