L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Marcelle Gallois, dessinatrice satirique au début du XXe siècle, se convertit soudainement à la foi catholique en découvrant la communauté bénédictine de la Rue Monsieur à Paris. Elle y devient moniale en 1917 sous le nom (le Geneviève. Elle y meurt en 1962. Le monastère, nouvellement construit, est alors installé à Limon, près de Saclay. Elle en a réalisé les vitraux et laisse derrière elle un ensemble important de dessins, de gravures et de gouaches entièrement liés à la foi.
Son oeuvre artistique d'une grande force expressive, où se mêlent la gravité et l'humour, est aujourd'hui bien connue. Moins remarquée est l'ampleur de son oeuvre écrite. Pendant ses quarante-cinq années de vie religieuse. Mère Geneviève n'a cessé d'écrire ses réflexions, ses souffrances, ses convictions et ses découvertes dans l'ordre mystique. Or, elle se montre aussi remarquable dans son écriture qu'elle l'est dans sa production artistique.
Ecriture et image, souvent associées sur la même page, sont un véritable trésor d'enseignement spirituel pour notre temps.
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