"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Une mort inexpliquée, un tableautin mystérieusement glissé parmi les chefs-d'oeuvre du Louvre, des châtelains veillant jalousement sur leurs secrets de famille, des conservateurs de musée à l'ambition démesurée, des règlements de comptes entre vrai et faux résistants : à l'heure de la Libération, une drôle de guerre éclate dans le bocage sarthois...
Un château enfoui dans le bocage du Maine, si vaste qu'en 1940 le musée du Louvre y a entreposé, loin des combats pensait-on, ses Rubens, Véronèse, Fragonard...
Le territoire libéré, il faut les récupérer. Des conservateurs, des experts se pressent. Mais, au lendemain d'une fastueuse cérémonie, l'un d'entre eux est retrouvé mort le bec dans une mare. Puis c'est un tableau perdu qui reparaît, une minuscule nature morte hollandaise, comme une carte de visite qu'on laisse sur le lieu d'un forfait. A priori, le tableautin n'a rien à faire parmi les grands formats du Louvre. Qui l'aurait introduit ? L'expert assassiné ? La jeune héritière cloîtrée sous les combles ?
Non, la guerre n'est pas finie. Des patriotes de la dernière heure courent le pays ; ils l' épurent . Le sang éclabousse le bocage. Le château lui-même semble s'abîmer dans les mystères de son passé... Dans ce contexte délétère, un jeune assistant conservateur enquête, l'énigme lui laissant entrevoir un destin inespéré. Il lui suffirait de forcer les circonstances. Une telle chance ne se présente pas deux fois dans une vie.
Mortel bouquet - Nicolas Chaudin
Je ne connaissais pas le prix ACF de l’Homme pressé, et je reconnais que le style vif et rythmé est bien au rendez-vous.
Le début de la 4e de couverture commence ainsi :
Dans un château enfoui dans le bocage du Maine, si vaste qu’en 1940 le Musée du Louvre y a entreposé, loin des combats pensait-on, ses Rubens, Véronèse, Fragonard…
Le territoire libéré, il faut les récupérer. Des conservateurs, des experts se pressent, Mais, au lendemain d’une fastueuse cérémonie, l’un d’entre eux est retrouvé mort le bec dans une mare. Puis c’est un tableau perdu qui reparaît, une minuscule nature morte hollandaise, comme une carte de visite qu’on laisse sur le lieu d’un forfait A priori, le tableautin n’a rien à aire parmi les grands formats du Louvre…
Le narrateur est un jeune conservateur et il va se frotter aussi à un homme fantasque.
Je ne connaissais pas non plus l’auteur qui est aussi éditeur d’art, réalisateur documentariste, écrivain d’ouvrages et récits historiques.
Pas plus que je ne connaissais l’éditeur avec TerreSombres qui semble être un éditeur de polard complexe, et vraisemblablement trop complexe pour moi, car je n’ai pas tout compris.
Entre le registre de l’art dont l’auteur est expert et sa manipulation historique qui porte sur la Seconde Guerre mondiale, l’Année terrible et autres éléments d’agrément et une fois encore dans un style vif et rythmé, la moquerie des protagonistes aux dialogues théâtraux, m’a fait me perdre dans le mélange peu harmonieux si tant est que je suis entré dans le château.
L’auteur y a mêlé la fiction à des épisodes avérés de notre Histoire et il avertit le lecteur en fin d’ouvrage.
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