"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Hugo Nicollini est un garçon différent des autres gamins de son âge. Un père brutal. Une maman protectrice. Un soir, il est témoin d'une dispute entre ses parents. Une de plus. Une de trop. Cette fois-ci, sa mère succombera sous la violence des coups.
Vingt-trois ans plus tard, l'équipe du commandant Rebecca de Lost enquête sur la mort d'une jeune femme, sauvagement poignardée dans son appartement. Pas d'effraction. Pas de vol. Pas de traces de défense. L'entourage de la victime est passé au crible, et l'histoire du petit Hugo va refaire surface bien malgré lui.
Hugo Nicollini est un garçon différent des autres, un père brutal, une mère protectrice qui va en faire un enfant un peu trop dans les jupes de sa mère, comme dit son papa. Mais il va assister à une scène entre ses parents, qui va le pousser à se rebeller, 23 ans après l'équipe du commandant Rebecca de Lost, enquête sur la mort d'une jeune femme, et le petit Hugo va refaire surface de bien une étrange manière.
La première scène du livre est vraiment dure, mais elle m'a complétement embarquée, dans le contexte que nous livre l'autrice. Ce qui m'as donnée très envie de me plonger dans l'histoire.
J'ai retrouvé avec plaisir les membre de Lost, l'équipe du commandant Rebecca, quoique qu'ils arrivent sont soudées.
J'ai beaucoup aimé les descriptions des scènes de crimes, aussi sur les thèmes abordés les informations que l'autrice nous donnent qui m'as permis d'apprendre des choses, et c'est toujours un plaisir dans un polar de découvrir des notions que je ne connaissais pas.
L'écriture est incisive, direct, et l'intrique est haletante, deux enquêtes en parallèle sont traitées par la brigade, une jeune femme retrouvée assassinée chez elle et le tueur aux marteaux.
Dans ce tome, on découvre plus en profondeur la personnalité de Rebecca, ses choix de vies, et elle vraiment au cœur de la trame, surtout pour la deuxième partie de l'histoire.
Beaucoup de fausse piste, ou j'ai pensé découvrir le coupable, et non tout est remis en question, c'est toujours gratifiant d'être surprise dans un polar de moins de 250 pages.
Cette série m'intéresse beaucoup, et j'ai très envie de découvrir les volets précédents, j'apprécie beaucoup la personnalité de Rebecca et la façon qu'elle as gérer son équipe, qui est composée de membres aux caractère totalement différents, sans parler de sa vie privée qui est loin d'être calme comme un peu sa vie professionnelle.
J'ai vraiment apprécié le mélange de criminalité, psychologie et d'enquêtes qui jalonne ce roman. J'espère retrouver vite Rebecca et son équipe dans de nouvelles aventures.
Il s’agit là du premier opus d’Isabelle Villain qu’il m’est donné de lire. Ça ne sera certainement pas le dernier ! Je remercie l’auteur pour l’envoi de son thriller (à la suite d’un concours gagné sur Twitter) et à la dédicace qui l’accompagne. J’ai tardé malheureusement à publier ma chronique pour des raisons indépendantes de ma volonté et je lui présente toutes mes excuses.
Nous avons ici un bon polar mené tambour-battant sans aucuns temps morts ni descriptions inutiles. On va à l’essentiel et ça n’est pas pour me déplaire. Ça démarre d’ailleurs très fort dès le prologue, avec une scène de violence conjugale des plus brutale. On rentre de plain-pied dans l’ambiance !... Puis, c’est immédiatement suivi par la description un crime odieux qui se passe vingt-trois ans plus tard. Apparemment aucun rapport entre les deux… pourtant…
C’est là que le commandant Rebecca de Lost entre en scène… avec son équipe de choc, elle va mener une enquête sur ce crime et surtout être amenés à décortiquer menu le passé de la victime pour tenter d’y trouver des indices, qui les amèneront, l’espèrent-il à mettre la main sur un coupable...
Mais rapidement, ils vont voir refaire surface une affaire vieille de sept ans qu’ils croyaient bel et bien close, avec un coupable ayant avoué à l’ombre pour un long moment. On repart alors, sur les chapeaux de roues sur tout autre chose.
Grosse remise en question du coup pour cette femme de tête qu’est Rebecca…
Puis, il y a bien aussi ces lettres et appels anonymes qu’elle reçoit et auxquels elle n’attache que peu d’importance. Bref, des pistes à suivre et des remue-méninges à tout va ! On a droit à un vrai festival et j’ai trouvé ça intéressant. Pourquoi ? parce que on nous présente souvent les policiers suivant une enquête à la fois, un peu « plan-plan » finalement. alors que bien souvent plusieurs affaires leur tombent dessus simultanément et ils se retrouvent à bosser sur plusieurs enquêtes en même temps. Ça donne donc au roman une force réaliste certaine. J’ai trouvé ça assez adroit. D’ailleurs on a aussi une belle évocation de la cohésion d’une équipe et de l’esprit d’entraide et de stimulation qui va avec. Ici on n’a pas affaire à un(s) chef(fe) flanqué(e) d’un(e) coéquipier(e) ou d’un loup solitaire. Non, il s’agit bien d’un « collectif » qui avance, soudé, sur le même front. Et même si chacun à sa part de secrets, c’est une petite bande sympathique à laquelle ont peut s’attacher et s’identifier.
Le style est simple mais concis voir brutal. Les scènes violentes de nous sont pas épargnés et pourtant nous ne tombons pas dans le « gore ». C’est un bel exploit qui mérite d’être souligné ! Les sujets abordés sont d’actualité mais encore tabou dans la plupart des cas. Ils sont évoqués ici de manière subtile, sans jugements et sans langue de bois.
Passons au niveau résolution de(s) enquête(s). J’avoue avoir inventé mille possibilités, plusieurs coupables, des mobiles en veux-tu en voilà. Mais j’ai finalement été battue à plate couture avec une fin que je n’ai pas vu venir. Et j’avoue aussi ne pas avoir tout compris sur cette fin là… je reste à me poser des questions…
Et puis, on comprend aussi que toutes les enquêtes n’ont pas de résolution dans ce tome-là. D’ailleurs, il y a eu deux romans auparavant consacrés au Commandant Rebecca de Lost, il y en aura donc aussi après… pas de problème, au contraire !
En revanche, ce qui m’a un peu déçue et ennuyée c’est que malheureusement trop de détails sur les précédentes enquêtes sont donnés et que du coup, je n’irai pas les découvrir, à mon grand regret, ayant déjà les tenants et aboutissants dans ce roman.
Voilà, c’est le seul bémol pour moi, mineur, puisque l’avenir s’ouvre sur de nouvelles aventures de notre héroïne. Et on attend la suite impatiemment…
Je voudrais juste ajouter un mot sur le titre et la couverture. « Mauvais genre » me semble particulièrement bien trouvé. Au départ j’avais compris le titre dans le sens « avoir mauvais genre » c'est-à-dire mauvaise réputation, mauvaise fréquentation… mais ça n’est pas exactement ce sens qui est donné ici. Et le double visage en miroir évoque très bien « le double », la dualité, dont l'un aux contours flous illustrant le sujet à merveille. C’est donc une belle présentation soignée que j’ai beaucoup aimée.
Belle découverte pour moi que l'écriture incisive d'Isabelle Villain qui nous plonge dans deux enquêtes menées par une des équipes du 36 ( encore pour quelque temps au 36 quai des Orfèvres ) dirigée
par la commandante à poigne Rebecca de Lost . le premier cas qui lui tombe dessus est le meurtre d'une certaine Angélique Lesueur , poignardée dans son appartement . L'équipe des policiers va vite percer la personnalité singulière qui se cache derrière cette ravissante kiné et transformer ce meurtre « ordinaire » en un cas beaucoup plus complexe qu'il n'y parait au premier abord . La seconde qui va occuper à plein temps son équipe va être encore plus troublante car le modus operandi ressemble à celui d'un meurtrier en série , mis à l'ombre il y a quelques années par la commandante. Se serait-elle trompée à l'époque et passée à côté du vrai coupable ? S'agit-il d'une simple imitation ? Mystère. Pour ne rien arranger Rebecca reçoit depuis plusieurs jours des menaces qu'elle a de plus en plus de mal à cacher à son entourage notamment à son amant , le commandant Tom Uriot , avec qui elle entrevoie la possibilité d'une vie à deux lorsqu'il aura divorcé .
Bref , la commandante de Lost a du pain sur la planche et peut de temps devant elle si elle souhaite éviter que la liste des victimes ne s'allonge encore ..
Dès les premières pages, le ton est donné . Et il est violent ! Les sévices du passé subis lors de l'enfance laissent toujours des traces indélébiles lorsque l'enfant est devenu adulte . Dans certains cas , cette douleur va être un ingrédient fondamental dans la transformation d' un innocent en un futur criminel ou…. en victime potentielle . Ayez bien à l'esprit cette entrée en matière tonitruante
car Isabelle Villain n'a pas son pareil pour désorienter ses lecteurs comme ces principaux protagonistes dans des enquêtes protéiformes où chaque personnage , qu'il soit policier ou non , peut se transformer à tout moment en coupable potentiel . Elle ne fait aucun cadeau . Ni à ses lecteurs , complètement captivés par les ( nombreux ) soubresauts du récit , ni à Rebecca et son équipe , où les tracas de la vie privée viennent subrepticement s'immiscer dans les investigations en cours . Sachez donc miser sur votre flair de lecteur de polar expérimenté capable de capter une impression fugitive , de détecter le détail qui cloche , si vous ne souhaitez pas être totalement déboussolé lors du dénouement final
1993 : Hugo, 12 ans adore sa maman Coralie. C’est un garçon à part qui n’a pas d’ami. Tous les 2 vivent dans la peur constante d’être pris à parti par Sébastien père d’Hugo, et mari de Coralie. Jusqu’au jour ou tout bascule.
23 ans plus tard : Angélique, séduisante dentiste, est retrouvée assassinée dans son appartement. Tout laisse supposer que celle-ci connaissait son meurtrier. Très vite, on découvre des coupables parfaits en apprenant le terrible secret qu’Angélique cachait.
Rebecca de Lost, chargée de l’enquête, sous ses airs de dure à cuire essai tant bien que mal de gérer sa relation complexe avec Tom, policier comme elle, en effet, celui-ci est marié et n’a toujours pas quitté son épouse, malgré l’inexistence de sentiment entre les deux depuis plusieurs années.
Voilà que Rébecca doit faire face à de vieux démons, avec la découverte d’un nouveau corps, elle revoit éclater au grand jour une de ses anciennes affaires. Et si une grave erreur avait été commise il y a quelques années, mettant un innocent en prison ?
Deux enquêtes dans un seul roman, celles-ci s’enchaînant à la perfection, avec justesse nous permettant aisément de suivre ces deux affaires sans aucun souci. Le rythme est soutenu, les personnages attachants et De Lost parfaite dans son rôle de flic humaine qui n’est pas parfaite !
Hugo a 12 ans, il préfère la pâtisserie au foot, surtout s'il cuisine avec sa maman. Mais son père ne l'entend pas ainsi et le drame survient un soir où il frappe un peu plus fort que d'habitude, faisant perdre à l'enfant sa mère et beaucoup d'innocence.
Vingt-trois ans plus tard Angélique est assassinée chez elle après une dispute dans un bar avec son fiancé. Rebecca de Lost est le commandant du groupe du 36 chargée de l'affaire, qui s'avère un peu particulière en raison du vécu de la victime. Les suspects ne manquent pas parmi les différentes relations de la jeune femme sans que Rebecca ne soit convaincue de leur culpabilité. Pour augmenter encore la charge de travail des enquêteurs, une autre affaire fait son apparition, les plongeant dans un gouffre de perplexité en les ramenant quelques années en arrière. Pour compléter le tableau, Rebecca reçoit des messages au contenu inquiétant.
Il n'y a donc pas de quoi chômer, surtout que Rebecca doit gérer une vie privée compliquée et quelques problèmes d'égo de ses équipiers, notamment entre Cyril, l'ancien procédurier promu second de groupe et Richard, le nouveau qui compte bien ne pas se laisser marcher sur les pieds.
Le lecteur ne doit pas non plus laisser baisser sa concentration pour suivre plusieurs histoires parallèles qui réservent quelques surprises finales, même aux plus attentifs.
Rebecca de Lost et les cinq autres membres de son groupe forment une équipe des plus attachantes, à laquelle se rajoute Antoine Atlan, l'ancien second qui met un point d'honneur à veiller sur son amie. Une évocation bien nostalgique du siège mythique de la police judiciaire parisienne qui vit ses dernières heures complète agréablement un récit qui n'oublie pas la part émotionnelle.
Dans un style très efficace, Isabelle Villain nous propose un polar original, abordant certains thèmes de société peu traités dans le roman policier. Une belle découverte que cette auteure, avec peut-être le petit regret de n'avoir pas commencé par les deux premiers romans de ce qui constitue tout de même une série.
Hugo Nicollini n'a pas vraiment la même enfance que tous les enfants de son âge. Entre son père brutal et sa mère protectrice, les disputes sont fréquentes tout comme les coups. Et un soir, c'est la dispute de trop, sa mère ne se relèvera pas.
Plus de vingt ans plus tard, l'équipe de Rebecca de Lost est en charge de l'enquête sur le meurtre d'une jeune femme poignardée. L'enquête les mènera alors à creuser un peu plus sur la famille de la victime, et l'histoire d'Hugo va alors refaire surface.
Vous savez que chaque titre publié par les Éditions Taurnada trouve sa place dans mes lectures. Mauvais genre d'Isabelle Villain n'a pas dérogé à la règle et j'ai donc découvert ce nouveau roman dernièrement.
Le roman s'ouvre sur un prologue qui semble mettre le lecteur de suite dans le bain. C'est une scène insoutenable, un acte qui nous choque même et qui nous arrache quelques frissons devant ce qui arrive au jeune Hugo. Et puis on plonge ensuite dans l'histoire, qui nous coupe brutalement avec cette scène, qui nous amène sur une autre intrigue, mais qui rejoindra finalement celle-ci...
J'avais lu beaucoup de choses positives sur ce titre, le voyant passer plus d'une fois sur les réseaux sociaux, et pourtant... Pourtant, pour moi, ce fut une déception. Mauvais genre d'Isabelle Villain est un thriller qui m'a presque laissé de marbre, qui n'a pas réussi à me happer dans son histoire et qui manquait cruellement de rythme pour moi.
Pourtant, au début du roman, on plonge dans une histoire sans faire de détour, faisant au passage connaissance avec le commandant Lost. L'intrigue se met en place, quelques pistes nous viennent à l'esprit, et à côté de ça d'un coup une ancienne affaire resurgit également. Mais pour moi, tel un soufflé tout est retombé d'un coup, il m'a manqué un petit quelque chose tout au long de ce roman.
Alors certes, il y a tout de même du positif dans cela, car j'ai beaucoup aimé les thèmes abordés, notamment celui du transgenre avec l'histoire d'Hugo. J'ai trouvé que l'auteure parlait de ce thème plutôt délicat avec tact, sans porter de jugement, et bien au contraire en apportant quelques précisions sur cela. C'est là le gros point positif de ce roman, pour moi. J'aurais apprécié que tout cela reste au cœur du livre, de son intrigue, mais l'intrigue certes se démultiplie et enfle au fil des pages, mais se disperse pour moi, perd de sa profondeur et la fin... Alors franchement, je me suis demandée comment on en était arrivé là, le dénouement m'a laissé cette impression d'arriver comme un cheveu sur la soupe dont on ne sait où.
Moi qui suis une grande fan des Editions Taurnada, il fallait bien malheureusement que cela arrive. Peut-être suis-je passée à côté de ce roman ? Peut-être ne l'ai-je pas lu au bon moment ? Ou peut-être tout simplement, celui-ci n'était clairement pas pour moi. Il ne vous reste plus qu'à vous faire votre propre idée en lisant Mauvais Genre d'Isabelle Villain.
Mauvais genre d'Isabelle Villain est disponible aux Éditions Taurnada.
Un début de roman percutant, Hugo est un petit garçon assiste à un drame violent....
23 ans plus tard, Rebecca de Lost mène son équipe d'enquêteurs avec fermeté. Veuve quinquagénaire, c'est une femme au fort caractère dont la vie personnelle vacille entre hésitation et vulnérabilité. Son couple avec son collègue Tom n'est pas des plus facile, lui étant marié de son côté avec deux enfants, elle peine à lui faire une vraie place dans sa vie.
Le mythique quai des orfèvres a déménagé dans les nouveaux locaux, et c'est là que plusieurs affaires aboutissent sur le bureau du commandant :
- une jeune kiné, Angélique, est assassinée dans son appartement
- des crimes odieux sont commis portant la signature d'un tueur en série censé être sous les verrous... "le tueur au marteau"
Entourée d'une équipe bien rodée qui fonctionne parfaitement avec ses caractères particuliers, ses forces et ses faiblesses, Rebecca se lance à corps perdu .dans des investigations complexes sans prêter attention aux lettres de menace qu'elle reçoit et l'on est vite embarqué dans cette histoire à la trame parfaitement échafaudée qui ménage suspense, fausses pistes et rebondissements. Il est question de violence, d'identité, de famille, de couple..... des thèmes forts et sensibles.
Un polar mené tambour battant, sans temps mort, avec de nombreuses surprises. L'écriture est minimaliste, sans fioriture. Les phrases sont courtes, concises et vont à l'essentiel. C'est direct, quasi sans description, rien n'est suggéré, tout est posé, énoncé. Cela donne un polar nerveux au rythme soutenu, d'un réalisme cru.
J'ai beaucoup aimé l'équilibre entre les enquêtes et la vie personnelle des personnages qui ont une vraie épaisseur et qu'on ne ménage pas, mais j'ai vraiment regretté, à ce propos, de ne pas avoir lu les deux précédents ouvrages de l'auteur. De nombreuses références y renvoient et j'ai eu l'impression, sans pour autant être gênée sur la trame même de l'intrigue, de louper une dimension plus intime avec chaque protagoniste...
La fin s'ouvre vers une suite directe, il reste des questions non résolues, impossible de ne pas avoir envie de plonger dans le prochain de la série !
Un grand merci aux Editions Taurnada et à Joël Maïssa
pour cette jolie découverte : une lecture prenante sur des thèmes forts. .
https://chezbookinette.blogspot.com/2018/12/mauvais-genre.html
Troisième roman mettant en scène notre personnage principal Rebecca de Lost, Mauvais genre est un très bon page turner où des sujets d'actualité tels que la monoparentalité, les violences conjugales ou les troubles du genre y sont abordés en toute finesse. Le thriller peut bien sûr se lire indépendamment des précédents ("Peine capitale" et "Âmes battues"). On y retrouve le commandant Rebecca de Lost et son équipe menant trois enquêtes à la fois. Les pistes sont brouillées et les intrigues déroutante et bluffantes. Les chapitres sont courts et l'écriture fluide. Le livre se lit à une vitesse folle avec un suspens qui va nous tenir en haleine jusqu’à une fin insoupçonnée (il manquait tout de même quelques éléments). Avec cette fin qui n'en est pas vraiment une, l'auteur nous tient en haleine! On veut la suite!
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