Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Cartes postales, photos, lettres: une correspondance, qui avait échappé à l'histoire, entre Henri Matisse et Étienne Terrus, peintre catalan (1858-1922), éclaire d'un jour nouveau la naissance du Fauvisme et ses développements.
Les deux hommes se rencontrent dès mai 1905, alors que Matisse découvre Collioure, y loue à l'année un atelier et fait venir femme et enfants. Derain, puis les anciens de l'École des beaux-arts, Camoin, Manguin, Marquet, suivent et se lient aussi avec ce peintre dont le sculpteur Maillot a pu dire que ses couleurs sont " comme des notes de Mozart ". Terrus se révèle à la fois comme un maître de la couleur expressive et le confident privilégié des crises morales de Matisse, si secret, en ces années décisives.
" Vous ne pouviez me faire un plus grand plaisir qu'en m'annonçant ces deux bonnes nouvelles : votre crise de volonté finie et Marguerite en train de guérir de la gorge ", lui écrit Terrus en 1910.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force