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Le XVIIe siècle français, dans sa période baroque comme dans l'ère classique qu'il fonde et qu'il porte à ses plus hauts sommets, est très attaché à la figure de Marie-Madeleine - peut-être parce que celle-ci assume en sa personne les contrastes les plus vifs et les plus pathétiques de la condition humaine, féminine et chrétienne.
Pécheresse et sainte, possédée du démon et aimée électivement de Jésus, remarquable par sa beauté et remarquable par sa pénitence, mondaine en ses débuts, ermite en sa fin, la Madeleine captive le coeur et illumine l'esprit. Elle émerge de la tradition hagiographique chrétienne, comme le plus séduisant de ses personnages, le plus propre à inspirer les poètes. Parmi tant d'auteurs, aux confins de la littérature spirituelle et de l'inspiration profane, Jean Desmarets de Saint-Sorlin (1600-1676), écrivain abondant, bien en cour sous Richelieu, mais quelque peu tortueux et sulfureux, si on s'en tient à la présentation qu'en fit Henri Bremond dans son Histoire littéraire du sentiment religieux, a consacré à sainte Madeleine un poème qui reste une référence notable dans la querelle des Anciens et des Modernes - une tentative audacieuse pour donner à la langue française son titre d'excellence en matière d'écriture du merveilleux chrétien.
Ce texte n'a pas été réédité depuis le XVIIe siècle. C. L.-C.
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