Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Ce livre, préfacé par le photographe Bernard Plossu, est la première monographie d'une certaine extension consacrée à l'oeuvre de Manuel Álvarez Bravo (1902-2002). À l'ombre tutélaire d'Atget et de Tina Modotti (mais aussi de James Joyce, de Cervantès et de Gracian) et dans la proximité amicale d'Henri Cartier-Bresson et de Paul Strand, de Diego Rivera et d'André Breton, et de biens d'autres écrivains et artistes, Álvarez Bravo a recherché dans le Mexique de son temps la plénitude intemporelle de l'instant présent. Des choix graphiques très épurés, même lorsqu'il se risquait à l'hypothèse de la couleur, lui ont permis d'aborder tour à tour, et avec un égal bonheur, des genres aussi différents que la nature morte, la scène de rue, le portrait, le nu et le paysage. Quelques motifs récurrents - le seuil, l'échelle, l'arbre, ou encore les linges blancs - confèrent à ses images une valeur puissamment symbolique.
Environ 130 photographies de Manuel Álvarez Bravo, présentées de manière thématique, sont mises en regard d'une dizaine de photographies de Berenice Abbott, Lola Álvarez Bravo, Graciela Iturbide, Tina Modotti, Paul Strand, Edward Weston.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle