L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Que la parole nous porte aussi bien individuellement que collectivement, cela est évident. Notre voix est ce que nous avons de plus précieux, de part en part du mystère de l'existence. A l'aube il y a la parole de Dieu, ou des dieux, c'est selon ; le soir est silence. Entre les deux, pour nous autres humains, parler devrait signifier notre présence. Pourtant, chaque jour n'a de cesse d'érafler d'un doute, ou de faire chanceler la foi à accorder à la voix de chacun d'entre nous, dans cela même qui ne devrait pas souffrir le doute.
Un poème interroge : Les invocations ?... / Mais pourquoi rappeler à nous les dieux et les morts, / quand les vivants habitent si peu / en nos mains sans amour !...
Un autre proclame plus loin :
Rendre sensible à notre caresse /la carte des écorchures, des blessures et des brisures...
Laisser résonner en nous la voix franche d'émoi, / pour aller à chaque rencontre /avec /l'échographie /de notre âme.
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