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Aucun historien ne s'était penché sur le passé gourmand de Lyon, capitale par excellence de la « science de gueule ». Dans un parcours traversant les siècles, cet ouvrage retrace la lente ascension de la cité d'entre Saône et Rhône vers le firmament de la haute gastronomie. Le XVIe siècle est marqué par une intense activité littéraire due aux nombreuses foires de la belle ville d' « entre fleuves ». Renseignements précieux sur le marché des produits alimentaires et les métiers de bouche à la Renaissance, ainsi que recettes comparées donnent tout son intérêt au texte. Sont recensés aussi les différents livres gourmands de l'époque, comme le Viandier (1495), le Platine en francoys (1505) ou le Gargantua de Rabelais (1534), imprimés à Lyon, tout comme les principaux traités culinaires français, dont le Livre des confitures de Nostradamus (1555). Les imprimeurs lyonnais se spécialisent aussi dans la diététique et font paraître les deux grandes encyclopédies, le De re cibaria (1560) de Jean Bruyérin-Champier et le Thresor de santé ou mesnage de la vie humaine (1607). La littérature médicale n'est pas oubliée pour autant avec le Regimen sanitatis, à découvrir et déguster.
Il était dit qu'imprimerie et gastronomie devaient croiser leurs chemins à Lyon, instituant la ville comme capitale de la culture gourmande. Déjà. Livres de cuisine, de confitures, de diététique, de cosmétique. Lyon est bien au XVIe siècle au centre de la littérature gastronomique ! Complété du rappel exhaustif des imprimeurs lyonnais au XVIe siècle, voilà un ouvrage unique en son genre !
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