"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Peintre, sculpteur, scénographe, Jean-Paul Marcheschi s'est proposé depuis quelques années d'écrire une histoire personnelle et singulière de la Beauté à travers les siècles. L'ouvrage intitulé L'ouvert sans fin des peintres vient clore sa vaste et longue entreprise.
Cézanne, Picasso, le Rodin des aquarelles et des dessins, mais aussi Twombly, Beuys, Duchamp, Soulages, Bacon et nombre d'artistes contemporains, tels Kounellis, Kirkeby, Turrell et bien d'autres encore, forment la matière de ces pages.
L'auteur questionne ici l'art à sa naissance, depuis les grottes de la préhistoire jusqu'à aujourd'hui. Et c'est toute la complexité de la peinture qui est interrogée. Qu'est-ce que peindre ? À quoi sert la peinture ? Quel est son rapport au désir, à la sexualité, au langage, au sens, à l'histoire, à la nuit, et comment l'enseigner ? Car cet écrit est aussi une lettre adressée aux jeunes artistes, aux étudiants et à tous ceux - conservateurs de musée ou simples amateurs - que cette vieille chose, l'art, occupe et que l'auteur voit lentement disparaître.
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