L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
«Litanie : langue longue, se dit, et se redit elle-même. Sac et ressac des rues, scènes de circulation, tours de piste, catalogues de poules, déballage de têtes, coups de la foudre et autres désamours, oscillations diverses. Saluts. Chaque lundi, écrire litanie. Penser Whitman, Notker le bègue, Rabelais le volubile, Hugo plein-la-bouche. Livres d'heures. Chanter. Litanique : idem langage, avec en sus, ce petit goût de naufrage sur le bout de la. Entre intime et épopée, entre murmure et déclamé, ça mue, ça roule, ça rue, ça sasse et ça ressasse, ça nous saoule et remue. Chaque matin, lire litanique, je veux dire : à voix dite, assez haute, et entendue. Haleine longue, qui sur le métier, qui sur le souffle. Il est dangereux. Il est dangereux de laisser son bras. Il est dangereux de laisser son bras dépasser, où ça ? Assez ! Déchanter.» Jacques Rebotier.
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