L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
En 1964, l'année de la création de marat-sade qui le rend mondialement célèbre, peter weiss suit attentivement un procès qui a lieu à francfort.
Plusieurs responsables du camp d'extermination d'auschwitz doivent répondre de leurs faits et gestes. un grand journal de francfort documente quotidiennement in extenso les débats et le procès rencontre un grand écho. le public en sort - le terme ne paraît pas inapproprié - traumatisé. weiss lui-même a pris des notes durant les débats et se fonde, en élaborant son oratorio en onze chants, sur les reportages publiés.
Il radicalise le théâtre documentaire en se limitant aux citations. mais il échappe ainsi au danger d'une reconstruction historique toujours subjective et dans le cas de l'holocauste particulièrement problématique. et en organisant les débats, il leur donne une intelligibilité et une forme permettant de mieux comprendre l'histoire et d'en tirer les leçons, pour nous contemporains.
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