L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
" Le monde qui est le mien est une vallée entourée de toutes parts de rochers impénétrables élevés comme une muraille du côté de la mer si bien que nul être humain ne peut connaître ce paradis terrestre...
" Cette île où s'achève l'existence d'Euthanasius préfigure-t-elle une cosmogonie aquatique, une initiation par immersion ou, tout simplement, le fleuve des eaux amniotiques menant à l'universelle symbolique des eaux de la renaissance ? Evoquant, tour à tour, les points de vue aussi bien d'ethnologues tels que Boas ou Kroeber que du sociologue Malinowski, de l'historien Calinescu ou du psychologue Rivers, Mircea Eliade resitue le mythe comme dramatisation du symbole.
Dans sa quête du sens ultime, il explore au-delà des mythes et des religions, l'archétype sous son aspect le plus archaïque. Dans ce recueil d'essais, paru en 1943 à Bucarest, l'esprit encyclopédique de Mircea Eliade s'illustre aussi bien dans l'histoire des cultures et des religions (Barabudur, temple symbolique, art indien, histoire de la médecine) que dans la littérature (Julien Green, Joachim de Flore).
Son érudition phénoménale soutenue non seulement par la hardiesse de son propos mais aussi par un enthousiasme passionné, donne à ces textes une actualité toujours de mise quant aux questions fondamentales de l'humanité.
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