"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'air était «sa» dimension, le vol sa passion. Mettre ses compétences au service de la science, sa plus belle ambition. Le 26 mars 2006, Angelo d'Arrigo s'est tué dans un accident d'avion. C'est un très grand sportif qui disparaît, un homme exceptionnel qui a su, avec passion et un immense professionnalisme, donner corps à ses rêves d'enfant. Au-delà des exploits - plusieurs records du monde de vol en altitude ; premier survol en vol libre du Sahara, de l'Everest et, fin 2005, le survol à 9100 mètres de l'Aconcagua -, Angelo d'Arrigo, passionné par les grands oiseaux planeurs, s'était lancé dans un extraordinaire projet : «Metamorphosis». En 2001, il apprend à un aigle des steppes à voler, à chasser, puis il lui fait découvrir sa route migratoire, du coeur du Sahara jusqu'en Europe. Le succès de l'aventure fait que des scientifiques russes lui demandent de sauver une espèce en voie d'extinction : les grues blanches de Sibérie. Il volera 5300 kilomètres avec six grues dont il est devenu le «père», du cercle polaire arctique à la mer Caspienne. En 2004, il réintroduit l'aigle népalais en Himalaya et réalise son plus grand rêve : survoler en vol libre, à plus de 9000 mètres, l'Everest ! Son dernier défi était de relâcher sur le Macchu Picchu un couple de condors, et de voler en Arctique avec des albatros...
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