L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Dans L'heure où les ombres vont boire, des extraits de substances relient mots et photos. Sous la plume poétique de Lionel Gerin, David Chabin confie des cieux, des objets abreuvés de clartés comme des concrétions lumineuses. Dans des ondoiements météoriques, Lionel Gerin dépose des atmosphères comme Le rapt souriant de tes yeux. Nos racines / Lestent légèrement / Les nuages. Et cette ligne de vie inquiète / Jus-qu'à l'outremer. D'abstractions faites en contagions du ciel, nous sinuons dans ces contemplations qui nous regardent. Les photos de David Chabin captent et honorent ces flux dessinés par le réel tandis que L'eau de l'enfance / Est toujours un mensonge un peu trop grand. Présences prises dans les images, éclats intimes, Tout ce que tait la lumière / Éclot/ Dans nos rêves. Poète et photographe trans-paraissent et décantent un climat comme une espérance qui nous commence.
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