L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Le métier de psychanalyste consiste à aider le patient à liquider son complexe d'OEdipe, mais un jour, en France, il s'est trouvé une « psychanalyste » qui a osé écrire que le garçon qui souhaite la mort de sa « belle-mère » le fait par désir d'épouser lui-même son père, et non par besoin de réunir ses parents pour surmonter son OEdipe ! (Catherine Audibert, Le complexe de la marâtre, Paris, Payot, 2004.) Moi-même « laid-fils » d'une belle créature qui s'appelle comme elle, j'ai écrit le présent ouvrage en réponse au délire ou à la perversion de cette psychanalyste-là. J'ai trouvé l'amour en tuant la haine sur les pages d'un livre... car, dans les cultures monogames, la liquidation (symbolique) de la marâtre est la « voie royale » qui mène à la liquidation de l'OEdipe.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique