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Les Raisins du baobab est un recueil de poèmes en quatre parties - Dakaroises, Terreaux d'Afrique, Sutura, et Un Élan d'Humanisme - écrit par l'auteur entre décembre 2002 et mai 2009, à des moments marquants de sa vie. Dans cette collection, Niang s'interroge sur l'image de l'Afrique dans le milieu urbain et rural, aussi bien dans la mentalité des peuples africains qu'ailleurs. En se gardant de juger leurs attentes, croyances, habitudes et valeurs, il incite les lecteurs à prendre position pour changer l'image véhiculée à travers le continent et participer à une vraie renaissance africaine. A travers un cadre spatio-temporel propre à l'Afrique et à son pays natal, le poète fait voyager l'esprit en invoquant les ancêtres, les saisons, les mers, l'alimentaire, les amours et les douleurs. Autant de sentiments qui feront renaître chez le lecteur une envie d'enracinement et d'ouverture au monde qui ne fait plus peur. La poésie de Niang reflète sa philosophie qui tangue entre l'enracinement et l'ouverture. Par cette poésie qu'il dit « passerelle», il entend attiser la flamme de l'espoir et de la renaissance africaine. Son premier recueil, au titre aussi évasif qu'expressif, emprunte les sentiers de la culture et de l'humanisme d'un véritable citoyen du monde.
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