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À peu de chose près, Gaius Fabricius Lucrecius est censeur à Rome au iiie siècle avant Jésus-Christ. À cette époque, cette charge est occupée par deux têtes. Son alter ego est Quintus Æmilius Papus, dit Julienus. Pour mener à bien et à mal son destin, cette tête bicéphale bien pleine (que trop ) enlumine sa vie De noir, quand Julienus, belliciste, nous dépeint ses déboires au Saint des saints, du bout de son crayon gris, bien propre sur lui, du classique, une vie de HB, numéro ½, ni trop gras, ni trop léger, le plus vendu.
De rouge, quand Fabricius, bellissime, avive son quotidien de l'amour, au sein des siens, numéro ½ également, moitié-moitié. En passant par toutes les couleurs.
Sans cesse en ruptures de... et au bord de la... Qui se cache véritablement derrière ce héros des temps modernes, au caractère si bien trempé qu'il en est devenu parfois si mou « Littéraire contrarié » comme on le dit d'un gaucher, Fabrice Douez, cadre dans la fonction publique, a trouvé depuis quelques années le chemin de son cerveau droit. Après La nuit où j'ai vu le jour aux éditions Édilivre, Les proses-épopées de Fabricius est son deuxième roman.
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