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Suivant l'acception définie dans cet ouvrage, la violence est intimement liée à la condition des vivants. A toutes les échelles, elle est donc indissociable du processus de conservation (survie & bien-être) des Êtres vivants.
Pour évaluer, de manière pertinente, comment se répartissent les niveaux de potentiels de violence entre les espèces vivantes, nous faisons usage d'un outil inédit précis : la condition de Base des Êtres vivants. Dès lors, on constate que le niveau de potentiel de violence est, de très loin, le plus élevé chez l'Être humain à cause de l'extrême précarité de sa condition de Base.
Ainsi, sans exception, tous les Êtres humains sont dotés d'un même niveau du potentiel de violence. Mais, d'un groupe d'humains à l'autre, à cause de l'accumulation de certains automatismes sur de longues périodes, un facteur structurel précis a induit des niveaux stratifiés des potentiels de propension à exercer la violence. C'est le climat. Précisément, des zones tropicales aux zones tempérées, le potentiel de propension à réaliser le potentiel initial de violence n'est pas identique.
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