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La nourriture chez les anciens Égyptiens occupait une place prépondérante dans la vie quotidienne autant que dans la vie dans la vie funéraire, c'est pourquoi ils approvisionnaient le défunt en nourriture « réelle » et « imagée». Cette étude propose de faire une identification des différents types d'offrandes « périssables » données au défunt c'est-à-dire les aliments, les fleurs et les liquides par le biais des contextes archéologique et iconographique. Les tombes étudiées sont celles de la nécropole Ouest de Deir el-Médina datant des XVIIIe et XIXe dynasties considérées comme « intactes » : celles de Sennedjem (TT1), de Kha (TT8) et de Sennefer (1059 A). Par ailleurs, il s'agit de voir au travers d'une étude comparative quels sont les objets attestés dans les deux contextes ou ceux que l'on peut observer que dans l'un ou l'autre. Ainsi, les résultats de ces données permettent un élargissement de la réflexion sur le statut des offrandes, mais aussi de voir s'il est possible de dégager une valeur symbolique ou rituelle dans le choix du placement des objets et des images d'offrandes dans ces caveaux.
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