L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Ici un insecte ou un crapaud qui se font passer pour une feuille, là un hippocampe qui imite à la perfection le corail, là encore une minuscule araignée dont on ne sait si elle se prend pour un crabe ou un genre de marguerite... C'est le grand jeu des Illusionnistes ! Chez les animaux, passer inaperçu est parfois vital pour se protéger - ou pour fondre sur sa proie. Chez les plantes, il s'agit de mieux se faire voir, au contraire, pour attirer les insectes pollinisateurs. Ainsi de l'orchidée à tête de singe ou encore de la fleur surnommée Dark Vador pour le masque qu'elle arbore - et dont on ne sait lequel a inspiré l'autre ! Outre une approche de l'inventivité géniale du monde animal et végétal, on pourra admirer des points de vue étonnants, car l'artiste y a été de son grain de sel : par le cadrage, le choix des couleurs, Laure du Faÿ compose des tableaux à la fois graphiques, sensibles et tout simplement beaux. Du grand art, d'un côté comme de l'autre !
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