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Les gueux de la République

Couverture du livre « Les gueux de la République » de Georges Krausz aux éditions In Octavo
  • Date de parution :
  • Editeur : In Octavo
  • EAN : 9782848781129
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

«Une des conséquences du surendettement est de détruire à petit feu ses victimes, altérant irrémédiablement tant leur moral que leur physique, entraînant des pathologies lourdes, le recours à des solutions extrêmes, l'isolement et la marginalisation. Ces naufragés, ces laissés pour compte... Voir plus

«Une des conséquences du surendettement est de détruire à petit feu ses victimes, altérant irrémédiablement tant leur moral que leur physique, entraînant des pathologies lourdes, le recours à des solutions extrêmes, l'isolement et la marginalisation. Ces naufragés, ces laissés pour compte s'accrochent comme ils peuvent à la vie, surconsomment les mixtions magiques de tranquilisants, somnifères et antidépresseurs, contribuant ainsi au trou de la Sécurité sociale, tout en détruisant inconsciemment leur santé.



L y a la misère dont on hérite -qui nous poursuit toute notre vie-, et celle dans laquelle on tombe, après un accident de la vie -chômage, divorce, maladie- aspiré par l'engrenage infernal des crédits toxiques.Dans notre pays, cette véritable pandémie touche plusieurs millions de citoyens. Le nombre de ces nouveaux exclus ne cesse de croître, avec chaque année près de cent quatre-vingt mille cas supplémentaires, et les dommages collatéraux sont considérables, puisque des familles entières sont ruinées, marginalisées, détruites.Les Gueux de la République, récit sans fard -non dénué d'humour- de dix années d'un parcours kafkaïen, leur est dédié.



L'auteur Au début des années 90, Georges Krausz, cadre supérieur, voit son salaire divisé par deux à la suite d'une mutation en province. Commence alors pour la famille, incapable de faire face aux dettes contractées au temps des années fastes, une lente mais inexorable descente aux enfers. Longtemps ruiné, dépouillé du superflu et même du nécessaire, Georges a toujours conservé l'espoir de faire entendre sa voix. Pour lui, mais aussipour toutes les victimes de ce fléau social des temps modernes.

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