L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Au Maroc, l'expression « filles qui sortent » désigne celles qui se prostituent. Des délires adolescents à la professionnalisation, Les Filles qui sortent analyse la quête de respectabilité de ces jeunes femmes qui se heurtent à un ordre social autant que moral.
Au Maroc, l'expression « filles qui sortent » désigne celles qui fréquentent les night-clubs et les bars la nuit pour gagner leur vie. Au-delà du fait prostitutionnel, le « sortir » renvoie aussi plus largement aux distances qu'une partie de la jeunesse féminine des classes populaires prend avec les normes, la moralité et la respectabilité. Loin d'être confiné à la marginalité, le sortir joue sa partition dans les métamorphoses de l'ordre sexuel et intime dans un contexte d'essor de l'économie du divertissement et d'accroissement des inégalités. Y émergent de nouvelles valeurs qui remettent en cause les régimes moraux et juridiques tout en réaffirmant l'ordre hétérosexuel.
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