L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Ouvrage de poésie qui se veut plongée dans le tréfonds de l'écrivain. Accepte ce qui vient dans la préciosité comme dans la cruauté. Flirte avec l'écriture automatique des surréalistes sans pour autant en perdre totalement le contrôle. S'amuse des coups du sort pour les donner à moudre à son imagination excentrique. Émotivité à fleur de peau et auto-passages à tabac nécessaires pour expurger le mal de nos esprits abscons. Zentra ne craint pas l'humour noir, ni les faits divers sanglants qui se veulent allégories des sentiments et non incitations au passage à l'acte. Les femmes sont aussi présentes, mais dans un lointain plus inaccessible que dans le plaisir d'être à deux. Pour Zentra, la poésie est essentielle, car l'homme, seul face à sa feuille blanche, s'y dévoile sans masque et sans fard. Il n'a qu'à s'en prendre à lui-même. L'accouchement est douloureux et le bébé n'a pas toujours la tête qu'on espère, mais tant mieux, c'est notre miroir infâme.
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