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Après les attentats du 11 septembre, la ville de New York a été envahie par les écrits.
D'innombrables papiers ont recouvert des murs entiers, des vitrines de magasins, le mobilier urbain. Jour après jour, Béatrice Fraenkel a mené une enquête photographique en visitant les hauts lieux de la catastrophe et en documentant les trajets les plus banals. Elle a tout transcrit, traduit, afin de démêler l'incroyable imbrication des inscriptions, et livrer ici la passionnante analyse de cet " événement d'écriture ".
La ville devient un espace public à déchiffrer, et ces écrits exposés font saillir sa dimension politique. La nécessité d'écrire aux yeux de tous, et surtout la pulsion de signature qui s'empare de milliers de passants évoque irrésistiblement l'idée d'une cérémonie civique. Chacun en lisant fait circuler la force des encres multicolores, la force des messages répétés encore et encore, la force des signatures accumulées.
Forces conjuguées du graphique et du lexique, de la main et de l'oeil, nous voici, peut-être, au plus profond de la raison d'écrire.
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