À son retour triomphant de l'île des Lestrygons, Nelson Lobster demande audience au roi pour réclamer son dû : la main de la princesse. Quelle n'est pas sa surprise lorsque ce dernier lui apprend la disparition de la promise. Nelson, chargé de la retrouver, reprend la mer et met le cap sur Orqueline, une bien étrange île dévastée par une guerre dont l'origine se perd dans la nuit des temps.
Deuxième tome dans lequel nous découvrons un personnage encore plus malin et usant d’une grande intelligence. Nelson se joue d’un roi en allant chercher sa fille qui a fugué.
Le récit est très linéaire, sans grande prétention. Une histoire avec beaucoup de clichés, les rebondissements sont prévisibles et donne même l’impression de s’adresser à des adolescents ou des enfants. Corbeyran nous avait habitué à beaucoup mieux.
Le graphisme n’est toujours pas plaisant, peut-être une histoire de goût. Les expressions des visages sont assez fades, comme les couleurs, trop sombres.
Un deuxième album assez décevant.
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