L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Manami Moriguchi, quatre ans, est retrouvée morte noyée dans la piscine du collège. La police conclut à un accident. Plus d'un mois plus tard, sa mère, enseignante, fait son discours d'adieu à sa classe de 5e B : elle accuse directement, mais sans les désigner, les deux élèves qui ont tué sa fille et leur annonce sa vengeance. Succèdent à cette première «confession» celles de la déléguée de classe, sous forme d'une lettre adressée à Mme Moriguchi; de la mère de Shimomura (l'un des deux assassins), dans son journal intime ; de Shimomura lui-même, qui a des visions en flash-back de sa petite enfance ; de Watanabe, l'autre assassin, qui se vante sur son site internet de ses géniales inventions scientifiques. La dernière intervention est un coup de téléphone de Mme Moriguchi à Watanabe. Quelle sera donc la terrible vengeance de Mme Moriguchi ? Le suspense est maintenu jusqu'au dernier moment, quand les pièces du puzzle s'assemblent enfin pour dévoiler une machination glaçante.
Née en 1973 dans le département d'Hiroshima, Kanae Minato a d'abord écrit des séries pour la télévision et la radio. Les Assassins de la 5e B (Kokuhahu) est son premier roman. Parmi les cinq suivants figure Shokuzai, dont l'adaptation pour le cinéma par Kiyoshi Kurosawa a connu un certain succès lors de sa sortie en France en mai 2013.
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