L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Les Grands chemins se lisent avec une apparente facilité, d'un trait, sans chapitres et dans un langage souvent populaire.
On y découvre pourtant les aventures d'un narrateur qui philosophe en argot, un Blaise Pascal mécanicien qui s'interroge sur le bonheur et la condition humaine. Avec son ami, virtuose des cartes et tricheur professionnel, il vit au jour le jour, collectionne les instants et les lieux, multiplie des expériences parfois poétiques, parfois mortellement dangereuses. La plus étonnante expérience est peut-être celle de Giono l'illusionniste, qui joue avec les mots mieux qu'avec des cartes, dans un présent sans fin.
Hubert Laizé, ancien élève de l'ENS Ulm, agrégé et docteur ès-lettres, professeur dans le secondaire, analyse cette sorte de " western provençal ", au style faussement familier, qui invite à philosopher et à analyser avec plaisir une forme littéraire originale, même quand on n'appartient pas forcément à un public dit " littéraire ".
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