Merci à Joëlle G, lectrice, pour son passionnant reportage
Merci à Joëlle G, lectrice, pour son passionnant reportage
J ai beaucoup aimer cette histoire malgré la tristesse du sujet ,j ai découvert un auteur aussi à lire vous ne serez pas déçue
L’auteur se plonge dans le passé, interroge les souvenirs.
Sauf que l’auteur se regarde aussi écrire, et penser et parler. Et c’est devenu très vite lassant.
J’avais envie d’en savoir plus sur ce jeune homme ami du fils du narrateur. Mais les informations arrivent au compte-goutte, noyées au milieu des descriptions de la vie et des atermoiements de l’auteur.
J’ai fini par me lasser.
Une lecture à la fois intense et très surprenante.
Un fait divers avec la mort d'un garçon de 18 ans, en bas de chez lui suite à un coup de feu, le narrateur qui est aussi l'auteur va chercher à ressusciter cette histoire à l'aide de sa plume. Bavure policière ? Suicide ? Des zones d'ombre semblent présentes. Le lecteur est tenu en haleine espérant connaître la résolution de cette énigme. L'auteur va marcher sur les pas de Bélhazar, ce garçon original et attachant, qui s'est inventé tout un monde imaginaire.
Ce livre est aussi un beau récit sur le deuil de deux parents séparés qui le vivent différemment, mais chacun avec intensité. L'histoire est reliée aussi à certains événements de l'actualité et une certaine poisse qui semble accompagner cette quête de la vérité. Au fil de la lecture, le narrateur cherche constamment en entrer dans la tête de Bélhazar, à communiquer avec lui.
J'ai eu plus de difficultés à suivre l'auteur quand il s'est agi d'entrer dans le monde imaginaire de son personnage avec un narrateur en quête de vérité mais surtout en quête de qui était le jeune homme. La partie finale m'a laissé un goût un peu mitigé et offre une fin singulière qui suggère que le travail d'écriture était aussi une manière d'aboutir dans cette quête de la vérité.
Vers minuit en bas de son immeuble, un banal contrôle de police, il se prend une balle dans la tête, Bélhazar, 18 ans, est mort ! Il avait l'allure d'un poète maudit, d'un pirate ou d'un contrebandier. Il avait de mauvaises notes, il faisait rire ses camarades, surprenait par ses connaissances. Il voulait faire entrer l'imaginaire d'un enfant dans les critères de l'Éducation nationale. L'école était trop petite pour lui, il était ce qu'on appelait à l'époque, un surdoué.
Jérôme Chantreau enquête sur la mort, dans des circonstances obscures, d'un adolescent hors norme qu'il a eu comme élève. Il va donc se rapprocher des parents de Bélhazar et de tous ceux qui l'ont connu. La première partie consacrée à l'enquête de Jérôme pour trouver la vérité et combattre la thèse officielle du suicide sur ce fait divers, est très intéressante elle nous permet de faire connaissance avec ce jeune homme érudit qui se passionnait pour les armes, pour l'Histoire en général et particulièrement par la Première Guerre mondiale, l'écriture est agréable souvent poétique. La seconde partie m'a paru bien ennuyeuse. En effet l'auteur s'évertue à entrer dans le monde imaginaire de Bélhazar et je me suis complètement égaré dans les méandres de cette poursuite d'un lapin blanc, comme dans Alice au pays des merveilles, afin de trouver les clefs pour entrer dans cet univers.
Malheureusement, je n'ai pas réussi à basculer dans cet autre monde.
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