L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
En 1910 mourait à vingt-trois ans, de sa propre main, le jeune philosophe italien Carlo Michelstaedter. Il venait de terminer La persuasion et la rhétorique, qu'on peut lire comme une réponse par anticipation aux inquiétudes de notre temps. La question du sens de l'existence n'a pas été pour lui le prétexte d'une thèse ou d'une théorie, mais quelque chose de vital: un problème humain.
Cet essai où se font entendre la voix de notre époque, sous forme de soliloque, et la voix de Carlo, sous forme de dialogue, porte sur six aspects du monde qui ressortent dans l'oeuvre de Michelstaedter: la douleur, la peur, la vie suffisante, la rhétorique, le poids des choses et la violence des nécessités. À la question «Qui est Carlo Michelstaedter?», on répondra qu'il était ce qu'il demeure: un jeune homme qui ignore que sa présence contribue à maintenir le monde dans l'existence.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique