L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Lancé jeune dans le monde littéraire avec sa revue La Boîte à clous, Jean Forton ne rêve que de roman. Son premier texte est oublié chez Pierre Seghers sous le titre Le terrain vague. Nous sommes en 1951 et le futur auteur de L'épingle du jeu a 21 ans.
Avec ce petit livre inscrit dans une collection qui découvre les nouveaux talents, Forton aborde déjà les thèmes majeurs de son univers, comme s'il s'agissait d'un manifeste, d'une déclaration d'où surgissent les motifs de l'oeuvre à venir. Le jeune héros, Marc Frouville, amoureux "des portes fermées et des arbres déchus", est habité par "la science de voir et de jouir soi-même", et tenté par la fuite. Secoué par "une vie émotive trop intense", il s'enivre au rêve d'une vie d'aventure dont nous allons voir la premier épisode.
Un beau début.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique