"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Tout le monde sait comment on fait les bébés. Mais personne sait comment on fait des papas... Les pleurs du chanteur Stromae clament l'absence du père. Certains, jadis, s'en seraient réjouis car, au vingtième siècle, il fallait « tuer le père ». Aujourd'hui la trace du père a laissé une nostalgie : Y aura bien un jour où on y croira plus. Que s'est-il passé ? Une analyse de la culture dominante manifeste une rupture. Albert Camus en mesure les désastres dans l'Homme révolté. Et la révolte était nécessaire pour se libérer des caricatures, voire des perversions, qui recouvraient le visage de Dieu. Le mythe de la Genèse le dit à sa manière. Mais une fois que Dieu est socialement mort, selon Nietzsche, une fois que le père est tué, selon Freud, une fois que ces deux morts ont été oubliées, que reste-t-il ? Il reste à retrouver le Père, le vrai, celui dont témoigne Jésus- Christ, qui n'est pas celui que nous aurions imaginé. En retrouvant l'origine, nous retrouvons notre destination. Dites-moi d'où il vient. Enfin je saurais où je vais.
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