L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Sur chaque page, au centre, se trouve une illustration en forme d'objet, une simple phrase l'accompagne. Pour le coquillage,"Le monde est si bruyant", pour la chaussure, "Le monde est si rapide", pour la goutte d'eau, "Le monde est si lourd"...
À l'intérieur de chaque objet, c'est le monde merveilleux et coloré de Loren Batt qui bouillonne de vie. Le foisonnement des détails captive le jeune lecteur.
Il repère, il cherche, il énumère. Il ne se lasse pas de faire des découvertes dans les scènes surréalistes de ses illustrations. Puis, c'est la surprise, "Le monde est si grand et moi je suis si petit". L'image qui accompagne cette chute est immense, comme un zoom arrière sur une ville miniature avec des centaines d'éléments insolites et poétiques. Mais "Quand je me tais, conclut le livre, tout le monde entend mon silence"... Un livre haut en couleur et en imagination qui raconte simplement que chacun est indispensable au monde.
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