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L'action de ce « petit roman », comme l'appelait volontiers son auteur, débute au milieu de la Première Guerre mondiale pour s'achever tragiquement en mars 1920. Le lecteur se trouvera là en présence d'un chef-d'oeuvre méconnu, méritant d'être porté à la connaissance d'un plus vaste public dans une nouvelle traduction qui lui restituera sa singularité.
Je suis faible.
Une jolie couverture (Gustav Klimt), une référence à Stefan Zweig, la promesse d’un texte vibrant et voilà qu’il me faut absolument lire Le miroir aveugle de Joseph Roth.
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Je remercie grandement ma faiblesse de m’avoir permis de lire ce « petit roman », vibrant en effet, prenant et intense.
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Jeune employée de bureau peu sûre d’elle (et peu efficace), Fini voit sa féminité s’éveiller.
Ce tumulte en elle l’entraînera dans une sorte de fuite en avant malheureuse.
L’atmosphère est sombre, tonalité renforcée par le contexte historique, la Première Guerre mondiale, qui s’il n’est pas fortement mis en avant, ajoute une pesanteur certaine au récit. L’écriture est belle, riche, évocatrice, un plaisir.
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Un « petit roman » certes mais qui fait son effet.
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