L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Romain Gary écrit Le Vin des Morts en 1933, à l'âge de 19 ans, alors qu'il était étudiant à la faculté de Nice.
Jamais il n'oubliera ce texte de jeunesse qu'il espérera toujours voir publier, ce livre dont il disait qu'il était le roman " d'un être jeune face à la vie devant lui ", qui contient l'oeuvre à venir, celle de Gary mais aussi celle d'Ajar. Le Manuscrit perdu nous révèle l'existence de ce roman mythique, encore aujourd'hui inédit, et éclaire la problématique du père et des identités successives chez Romain Gary : Kacew, Gary, Sinibaldi, Bogat, Ajar.
On comprend mieux l'épisode Ajar lorsqu'on sait qu'Ajar a en fait existé avant Gary : Gary n'a pas inventé Ajar, il est redevenu Kacew.
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