"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Quelques années avant la mort de sa grand-mère - celle qui l'a élevée, celle qui l'a aimée, celle
dont on rêve - Fethiyé Çetin, la narratrice, apprend que celle-ci n'est pas turque, comme elle, mais
d'origine arménienne.
« Sa grand-mère avait l'habitude de répéter : ...Ce n'est pas des morts qu'il faut avoir peur, mais
des vivants... Ces paroles, l'avocate turque F.Ç. ne les a comprises que beaucoup plus tard, quand
la vieille dame lui a raconté les scènes d'épouvante qui hantaient ses cauchemars (celles du
génocide, en 1915). Dans les provinces orientales de Turquie, ces "Arméniens secrets" portent un
surnom - terrible - les "restes de l'épée". », Ursula Gauthier, Le Nouvel Observateur.
Sa grand-mère a pris plus de 60 ans avant de raconter son histoire, Fethiyé Çetin a attendu 30 ans
avant de la publier. Aussi, en racontant le quotidien de cette petite fille arménienne devenue tri
aïeule (la promesse du paradis !), l'auteur espère participer à la reconnaissance de ce que son pays
appelle toujours « le prétendu génocide ».
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