Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Mort en 1912 à 26 ans, Takuboku est considéré comme « le Rimbaud japo-nais ». Il est l'auteur de deux recueils : Ichiaku no suna (Une poignée de sable, 1910, 4 parties, en tout 551 tankas) et Kanashiki gangu (Le Jouet triste, 1912, 194 tankas, publié par son ami Toki Aika deux mois après sa mort).
« La poésie est mon jouet triste », écrivait Takuboku. Ce recueil posthume de Takuboku fait entendre la cette tonalité tendre et déchirante, immédiate-ment reconnaissable et tellement inoubliable, qui est celle de Takuboku.
De cet auteur devenu depuis 40 ans un véritable symbole des éditions Arfuyen, c'est le quatrième ouvrage bilingue publié : Ceux que l'on oublie difficilement (1979, rééd. 1983, 1989 et à venir, 4e partie d'Une poignée de sable), Fumées (1989, 2e partie) et L'Amour de moi (2003, 3e partie).
Les haïkus s'inspirent de l'impermanence de la nature, mais les tankas de Takuboku contemplent la précarité et la misère de la vie des homme : tous les lecteurs restent frappés par la sensibilité incomparable de cette écriture.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force