"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Il se commet chaque jour dans le monde des centaines d'homicides, soit des dizaines de milliers par an. Mentionnée en quelques lignes dans la presse locale, la quasi-totalité de ces crimes passe inaperçue, sauf des proches ou de la police. D'autres attirent l'attention de l'opinion publique, l'émeuvent ou la fascinent. Comment demeurent-ils dans la mémoire collective ? Pour leur mystère, de Jack l'Éventreur au « petit Grégory » ? Pour la monstruosité d'un Troppmann ou de serial killers contemporains ? Pour la personnalité d'un Al Capone ou d'un Petiot ? Pour la dramaturgie des procès, tels ceux de Landru ou Marie Besnard ? Au-delà des affaires réelles, les crimes littéraires marquent autant les esprits. Des Mystères de Paris d'Eugène Sue en 1842 aux romans policiers contemporains, ils constituent une exploration des passions humaines à leur paroxysme. Mais c'est le cinéma qui, oscillant entre idéalisation du criminel - du brigand Cartouche au gangster Dillinger - et esthétisation de la violence, révèle avec le plus d'acuité notre fascination pour le meurtre.
Bernard Oudin, nous invitant à un discernement salutaire, raconte comment se décline cette passion pour le crime.
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