Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Un nouveau recueil de Guillevic. Peut-être le plus pur. Quelque cent cinquante groupes de vers frappés comme des maximes mais, contrairement aux maximes, ouverts sur l'immensité du monde et de l'âme. Groupés en quatre livres, ces poèmes disent chacun quelque chose du chant et même, souvent, tout ce qu'il semble qu'on puisse dire du chant. Plus que jamais, Guillevic réduit la langue française à la simplicité de son génie propre, une langue qui a l'art d'éclairer. On nous dit ici l'essence du chant proche et insaisissable, et ses vicissitudes, et le chant des arbres, des fleurs, des oiseaux, des insectes, des pierres, des astres, des heures, des sites et du silence. Ici tout est vrai sans preuve, tonique sans éloquence, mystérieux sans voile.
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