L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Des premiers vers - dont Le bonheur - au livre posthume, dans son oeuvre et dans sa vie, Helvétius vit en hédoniste et en sage. Généreux, doux, bon, partageur, affable, passionné de justice, soucieux du plus grand bonheur du plus grand nombre, militant de l'intérêt général, défenseur d'une religion civique, attentif à créer son plaisir en même temps que celui des autres, psychologue lucide, promoteur d'une « science de l'éducation » à même de réaliser son réformisme radical, il veut passionnément le bonheur pour tous. On comprend que pareil philosophe concentre la haine de tous les pisse-froid, innombrables dans l'Église, l'État, l'Université et... la vie quotidienne. D'où l'urgence de lire ou relire cette quintessence versifiée de sa pensée intempestive.
Michel Onfray
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