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Le bonheur du mal

Couverture du livre « Le bonheur du mal » de Jacques Cauda aux éditions Kirographaires
Résumé:

Non seulement la peinture a un corps mais elle est un corps. Elle s'incarne. Elle s'incarne en qui ? Une femme ? Un homme ? Un Dieu ? Pour Jacques Cauda, c'est une femme. Une femme vite nue, provocante et désirée. Le mot est lâché : désir ! Un mot qui plonge ses mains dans la boite de couleurs... Voir plus

Non seulement la peinture a un corps mais elle est un corps. Elle s'incarne. Elle s'incarne en qui ? Une femme ? Un homme ? Un Dieu ? Pour Jacques Cauda, c'est une femme. Une femme vite nue, provocante et désirée. Le mot est lâché : désir ! Un mot qui plonge ses mains dans la boite de couleurs et dans celle de Pandore. Un mot politiquement incorrect à ne pas mettre entre toutes les mains. Sauf dans celles du peintre. Et du poète. Car, comme le disaient les Anciens, la peinture c'est comme la poésie. Ut pictura poesis. Ce sont deux fleurs. Deux fleurs du mal, évidemment. C'est dire quel bonheur !

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