Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Retour au « motif » familial des Corrections avec cet admirable récit autobiographique, dans lequel Jonathan Franzen parle à la fois de sa timidité, de Charlie Brown, ou de sa fascination pour les oiseaux. En six chapitres, l'auteur des Corrections se livre à une tentative d'autobiographie où l'on retrouve ses qualités maîtresses : le sens du romanesque et l'autodérision. Le romanesque, d'abord, parce que chaque chapitre s'organise autour d'un motif narratif, qu'il s'agisse de bandes dessinées (Peanuts), d'ornithologie, de la vente de la maison familiale ou d'une balade très littéraire en Allemagne. D'autodérision, car Jonathan Franzen a choisi de se peindre en antihéros, embarrassé par sa timidité naturelle, sa maladresse et sa propension à la culpabilité.Dans La Zone d'inconfort, il révèle son identification totale, à l'âge de dix ans, au personnage de Charlie Brown, tout en décrivant les tensions qui agitent sa famille, les silences et les malentendus. Il évoque aussi, dans le désordre, sa découverte simultanée de Thomas Mann et des filles, ses années à l'université, l'ouragan Katrina, sa quête d'un canard siffleur à ventre noir, la politique de Bush, l'écologie, l'échec de son mariage.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force