L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
La Violence, une histoire sociale étudie la question criminelle et plus particulièrement la violence homicide entre le XVIe et le XVIIIe siècle. Empruntant les outils conceptuels de la sociologie, l'auteur explique la diminution progressive de cette violence, tout particulièrement du duel, par le déclin à l'attachement aux groupes, spécialement aux groupes de parenté du type des communautés confessionnelles, attachement qui justifiait auparavant une solidarité indéfectible de l'individu et un intransigeant devoir de défense d'un honneur perçu comme collectif. L'ouvrage montre ainsi l'affaiblissement des liens de parenté et le resserrement concomitant du lien conjugal, ainsi que la relativisation et l'individuation de l'honneur, portées par une aspiration nouvelle à l'épanouissement individuel et au bonheur.
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